Nos Rayons Chasse et Humains

Quelques unes de nos marques.

Depuis toujours.

La chasse et l'homme.

La chasse est la traque d'animaux dans le but de les capturer ou de les abattre, les manger ou les détruire1. Quand la chasse est soumise à une réglementation, la pratique de la chasse en dehors de son cadre légal est appelée braconnage. Les opérations de destruction sont soumises au droit de destruction, qui diffère pour partie du droit de chasse. La cynégétique est l'art de la chasse. Au Moyen Âge, la chasse se transforme peu à peu en simple activité de loisir, souvent réservée aux classes dominantes, la noblesse, puis les notables en Europe, avant de se démocratiser, après la Révolution en France. Toutefois, la chasse reste très prisée dans les classes dominantes, y compris la noblesse, où on la considère souvent comme un signe distinctif.

Vêtements

Un blouzon pour être au chaud.

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Pour les pros et les forces de l'ordre.

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Securisation et tranquilité.

Une fonction régulatrice.

À la fin du xxe siècle, en Occident, le monde de la chasse met en avant, la fonction de régulation des populations animales herbivores que remplit la chasse, en remplacement des grands prédateurs disparus ou devenus rares, notamment dans les régions fortement anthropisées. Ses fonctions écologiques s'étendraient aussi à la préservation d'espèces menacées par les activités humaines, comme le petit tétras dans les Alpes, et au développement d'espèces autrefois chassées de façon aléatoire. Le tir sélectif a ainsi fait ses preuves pour une gestion restauratrice de populations de cerfs ou de quelques espèces emblématiques comme le chamois ; les plans de chasse ont dynamisé les populations de sanglier. À tel point que leur population, excessive dans certains départements, présente à son tour un problème.

La position du monde de la chasse quant à la préservation de la biodiversité ne doit pas faire oublier la réalité des évolutions règlementaires en France : jusque dans les années 1970, tous les rapaces et de nombreux petits passereaux étaient chassés, et on doit essentiellement aux associations écologistes d'avoir obtenu la loi de 1976 sur la protection de la faune, qui a permis de sauver in extremis de nombreuses espèces durement touchées par une chasse non sélective.

Chasse en captivité.

Pour les chasseurs, l'intérêt principal est de faire durer la chasse aussi longtemps que souhaité puisque les animaux ne peuvent pas s'échapper. En outre, ceux-ci sont nourris, plus nombreux et moins farouches qu'à l'extérieur. La chasse en captivité est autorisée en France dans deux types de structures : les « parcs », dans lesquels la chasse est autorisée pendant les mêmes périodes qu'à l'extérieur ; les « enclos », dans lesquels la chasse est autorisée toute l'année. En France, il existe près de 1300 parcs et enclos qui détiennent entre 50.000 et 100.000 animaux : sangliers, cerfs, chevreuils, mouflons et daims. Les agents de l'Agence française de la biodiversité, chargés de contrôler les chasseurs en France, n'ont pas le droit d'entrer dans les enclos de chasse sans mandat particulier25..

Que dit la loi.

Droit de la chasse en France..

La législation française.

Le droit de chasse exclusif est aboli à la suite de cette nuit du 4 août : le principe de la liberté de chasser se substitue au droit exclusif, même si le droit de chasse continue à être considéré comme un attribut du droit de propriété. En application de ce principe, le Parlement adoptera en 1844 une solution de compromis qui permet à tous de chasser avec l'accord tacite du propriétaire.

La loi du 3 mai 1844 constitue encore, à l'heure actuelle, le fondement de l'organisation de la chasse dans son ensemble. Elle considère le gibier comme objet de prélèvement car nul ne songeait à l'époque à la gestion des effectifs, ni à la protection des biotopes. Cette législation a largement perduré depuis, complétée par diverses dispositions adoptées au cours du xxe siècle.

Cette loi a notamment interdit le droit à chasser avec des lévriers. En droit, la chasse est définie comme un prélèvement artificiel sur la faune terrestre. La loi dite Verdeille définit l'acte de chasse comme « tout acte volontaire lié à la recherche, à la poursuite ou à l'attente du gibier ayant pour but ou pour résultat la capture ou la mort de celui-ci » (article L.420-3 [archive] du code de l'environnement). En 2010, est publié au Journal officiel un décret créant une contravention de cinquième classe pour obstruction à un acte de chasse, passible de 1 500 euros d'amende.

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