Nos Rayons Rongeurs et Nuisibles
Quelques unes de nos marques.
Une compagnie affective.
Les rongeurs, des mammifères placentaires.
La plupart des rongeurs sont herbivores, se nourrissant exclusivement de graines, de tiges, de feuilles, de fleurs ou de racines. D'autres sont omnivores, et quelques-uns sont prédateurs. Le Campagnol agreste (Microtus agrestis) est un exemple typique d'espèce herbivore, se nourrissant d'herbe, de tubercules, de mousses et d'autres végétaux. Il ronge de l'écorce au cours de l'hiver, et consomme occasionnellement des invertébrés comme des larves d'insectes
Les rongeurs, plus de 2000 espèces.
La plupart des rongeurs se nourrissent de graines ou d'autres matières végétales, mais d'autres ont des régimes alimentaires plus variés. Ce sont souvent des animaux sociaux et beaucoup d'espèces vivent en communauté au sein desquelles les individus interagissent et communiquent entre eux de façon complexe. Le mode de reproduction peut être monogame, polygyne ou avec promiscuité sexuelle. De nombreuses espèces ont des portées de petits peu développés et dépendants, quand d'autres donnent directement naissance à des jeunes déjà relativement bien développés.
Les rongeurs forment un groupe très diversifié, présent sur tous les continents à l'exception de l'Antarctique. C'est le seul ordre de mammifères placentaires à avoir colonisé l'Australie sans l'intervention humaine. Ils se sont adaptés à de très nombreux habitats terrestres, dont ceux anthropisés, et certaines espèces sont arboricoles, fouisseuses ou semi-aquatiques.
De toutes les tailles.
Le plus petit rongeur existant est la gerboise Salpingotulus michaelis, qui mesure en moyenne 4,4 cm de longueur (tête et corps), avec des femelles adultes ne pesant que 3,75 g. La plupart des espèces de rongeurs pèsent moins de 100 g, mais le plus grand rongeur actuel, le Capybara (Hydrochoerus hydrochaeris), peut peser jusqu'à 66 kg. Du côté des taxons éteints, les ossements fossiles ont montré qu'il y a environ trois millions d'années vivait au sud de l'Amérique un rongeur bien plus grand (plus grand encore que Eumegamys paranensis ou que Phoberomys pattersoni, découvert au Venezuela et pouvant peser de 436 à 741 kg, précédents records en taille chez les rongeurs fossiles) : Josephoartigasia monesi était aussi haut qu'un bison et pesait jusqu'à une tonne environ. C'est le plus grand des rongeurs connus ayant vécu sur la Terre. Plusieurs indices laissent à penser que sa mâchoire était dotée d'une force exceptionnelle11,(plus encore que celle du tigre ou du crocodile1). Ce rongeur géant pourrait avoir ressemblé au cochon d'Inde, mais de la taille d'un hippopotame.
Une gamme importante d'accessoires.
Pour protéger son animal, eviter les nuisibles.
Gamme adaptée.
Bien que certaines espèces soient des nuisibles pour l'humain, les rongeurs jouent aussi un rôle écologique important2, et certains rongeurs sont considérés comme des espèces clé de voûte ou ingénieures de leurs habitats respectifs.
Les rongeurs, dont les Cochons d'Inde, les souris, les rats, les hamsters, les gerbilles, les chinchillas, les octodons et les tamias, peuvent constituer des animaux de compagnie faciles à conserver dans de petits espaces, chaque espèce ayant ses atouts et ses contraintes. La plupart sont gardés dans des cages de taille adaptée, et ils ont des exigences en termes d'espace et d'interactions sociales diverses suivant les espèces. S'ils sont domestiqués très jeunes, ils sont généralement dociles et ne mordent pas. Les Cochons d'Inde ont une grande longévité et ont besoin d'une grande cage. Les rats ont aussi besoin de beaucoup d'espace et peuvent devenir très dociles, apprendre des tours et sembler apprécier la compagnie de l'Homme. Les souris ont une durée de vie courte mais ont besoin de très peu d'espace. Les hamsters sont solitaires mais ont tendance à être plutôt actifs de nuit. Ils ont des comportements intéressants, mais s'ils ne sont pas manipulés fréquemment ils peuvent être agressifs. Les gerbilles ne sont généralement pas agressives, mordent rarement et sont des animaux sociables qui aiment la compagnie de l'Homme et de leurs congénères.
Étant donné que les rongeurs sont une nuisance et qu'ils mettent en danger la santé publique, les sociétés humaines tentent souvent d'en contrôler la prolifération. Cela passe généralement par l'empoisonnement et le piégeage de ces animaux, des méthodes qui ne sont pas toujours sûres ou efficaces. Plus récemment, la lutte intégrée tente d'améliorer le contrôle des populations de rongeurs par une combinaison d'études visant à déterminer la taille et la répartition de la population de nuisibles, l'établissement de seuils de tolérance (niveau d'activité des animaux au-delà duquel il est nécessaire d'intervenir), d'interventions et d'évaluation de l'efficacité de ces interventions à partir d'études régulières. L'intervention peut comprendre l'éducation des populations, l'application d'une législation adaptée, la modification de l'habitat de ces animaux, la modification des pratiques agricoles et la lutte biologique en utilisant des pathogènes ou des prédateurs, ainsi que l'empoisonnement et le piégeage. L'utilisation de pathogènes comme Salmonella a le défaut de pouvoir infecter l'Homme et les animaux domestiques, et les rongeurs deviennent souvent résistants. L'utilisation de prédateurs comme les furets, mangoustes et les varans se montre souvent insatisfaisante. Les chats domestiques et sauvages peuvent contrôler les populations de rongeurs efficacement, si la population de rongeurs n'est pas trop importante1. La pose d'affûts, de perchoirs et de nichoirs à rapaces est également une méthode de lutte contre la pullulation de nuisibles.
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